Chronique

ELVIS'GHETTOBLASTER
Love is a schizophrenic hungry monster

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COD&S Distribution

13 titres/ 36 min


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Mercredi 7 mai 2008

Formé à Bruxelles en 1999, Elvis’Ghettoblaster
Elvis’Ghettoblaster


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sort ici son second album. Love is a schizophrenic hungry monster est aux dires même du groupe un album concept involontaire sur les relations amoureuses qui tournent mal… à priori, rien de très réjouissant comme programme… heureusement la bonne humeur contagieuse et l’énergie d’Elvis’Ghettoblaster
Elvis’Ghettoblaster


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est là et bien là pour prendre tout le monde à revers.

Pur condensé d’une furieuse énergie, cet album part en tout sens sans pour autant se perdre ou se prendre inutilement la tête. Allant de l’indie à la pop en passant par de la bossa nova ou encore développant de petits côtés plus éléctro avec toujours la même fougue rageuse. Mélangeant allégrement les références, on pense en évidemment à un Bob Log III
Bob Log III


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ou encore aux divers projets d’un John Spencer (John Spencer Blues Explosion, etc.), mais pas seulement et fort heureusement, Elvis’Ghettoblaster
Elvis’Ghettoblaster


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se démarque aussi de ses influences traçant ainsi son propre sillon.

Alliant l’éclectisme à l’énergie, un très bon album pour qui recherche l’énergie et la fraîcheur qu’un groupe peut offrir quand il va à l’essentiel sans se préoccuper du reste.

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