Chronique

FLYING POOH
Never Slow Down

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Pamela Pooh Records



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Vendredi 28 octobre 2011

Il s'agit du quatrième album pour ce groupe formé en 1992, par amour pour la maxime de IAN DURY (Sex, Drugs & Rock'n'Roll). Pour être honnête, les trois précédents ne sont jamais arrivés jusqu'à moi.

Never Slow Down, ce sont 10 titres Rock'n'Roll axés sur les mélodies. Dotés d'un groove à la basse qui donne envie de bouger clairement. Cet album attire la sympathie. Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe comme moi, je leur suggère de penser à ROMANO NERVOSO
ROMANO NERVOSO


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, le Glam en moins. On y retrouve en effet cette spontanéité et cette volonté d'écrire des titres accrocheurs mais sans concession à la Pop.

Côté paroles, ce sont de petites histoires du quotidien passées à la moulinette de l'auto-dérision et du kitch sublimé. Dance With Me My Love aux accents d'Horror-Surf raconte une compétition de danse qui tourne au vinaigre pour se finir comme dans un film de Tarantino. The Lose est là pour conjurer le mauvais sort. Le groupe ayant connu les déboires du van volé et du studio inondé.

FLYING POOH
FLYING POOH


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est parisien, mais son goût pour le surréalisme aurait pu le faire naître en Belgique. Etrange donc qu'il n'ait pas eu à ce jour plus d'impact dans notre plat pays. Peut-être que cela viendra avec Never Slow Down qui à défaut d'être mémorable, est plutôt efficace et entrainant, taillé pour la scène.
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