Chronique

LOVE SEX MACHINE
S/T

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Throatruiner Records

http://lovesexmachine.bandcamp.com/


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Vendredi 30 mars 2012

Eloignez les vierges effarouché(e)s de cette chronique et surtout de ce disque, LOVE SEX MACHINE
LOVE SEX MACHINE


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pourrait en effrayer plus d'un(e) ! THE EXPLOITED
THE EXPLOITED


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chantait Sex And Violence avec une crudité à faire pâlir plus d'un moralisateur, LOVE SEX MACHINE
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ira plus loin et à coup sûr l'industrie du porno à côté d'eux passe pour une fabrique d'église.

Violence, barbarie, hurlement, sexe obscène et malsain sont au rendez-vous. LOVE SEX MACHINE
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n'a pas pour vocation de faire dans la dentelle, ni celle des notes, ni celle des paroles. Clairement, la machine s'exécute sans nuance, de la manière la plus mécanique possible mais surtout en douleur.

Un déluge de souffrance est déversé tout au long des trente-deux minutes. La pénétration est douloureuse, mais pas exsangue de jouissance. Difficile de croire que ces attaques sonores à répétitions, brutales peuvent être à l'origine d'une montée orgasmique. Point besoin d'être masochiste pourtant pour apprécier le skeud. Dérangé certainement un peu... LOVE SEX MACHINE
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n'est pas pour le commun des phallocrates, mais bien pour les hédonistes les plus convaincus.

Véritable défouloir en puissance, LOVE SEX MACHINE
LOVE SEX MACHINE


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et ce premier album libèrent une dose endorphinique qui traverse votre corps en de multiples points. Chatouillements garantis et sentiment de bien-être au bout des 8 plages. Il ne faut surtout pas commencer à se poser des questions à l'écoute du disque qui paraîtra dès lors indigeste. Il est important de le prendre comme il est ou de le recevoir d'un trait pour que le plaisir opère.
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