Chronique

BLACK SHEEP WALL
No Matter Where It Ends

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Season of Mist

Sorti le 23-03-2012


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Mercredi 11 juillet 2012

Auteur d'un premier album intitulé I Am God Songs paru en 2008, BLACK SHEEP WALL
BLACK SHEEP WALL


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revient avec son deuxième album inscrit dans une inspiration oscillant entre NEUROSIS
NEUROSIS


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et la mélancolie. Quand on a su que j'allais chroniquer le deuxième album du groupe américain, on m'a souhaité bonne chance. Je m'attendais donc au pire, voire au pire des albums.

L'album s'ouvre sur Agnostic Demon. Un titre lourd, où l'inspiration noire à la NEUROSIS
NEUROSIS


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se fait bien ressentir. Le chanteur y braille, un peu trop sur-produit à mon goût avec le chant trop en avant, mais je me dis que je suis loin de la catastrophe que j'imaginais.

Au fur et à mesure que les titres avancent, la voix, fort répétitive, se fait de plus en plus pressante – vers la sortie. Toujours un peu trop en avant, elle couvre les autres instruments et sa répétitivité ajoutée n'aide pas BLACK SHEEP WALL
BLACK SHEEP WALL


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à faire décoller l'album. Progressivement No Matter Where It Ends s'enfonce. On aurait aimé dans des méandres tortueuses et obscures, mais c'est plutôt dans la linéarité que le groupe s'enferme, répétant inlassablement sa recette faite de lourdeur.

No Matter Where It Ends est fait d'un seul bloc. Pas seulement pour la lourdeur Doom/Sludge choisie comme voie d'expression par BLACK SHEEP WALL
BLACK SHEEP WALL


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, mais aussi pour son côté excessivement répétitif. Le groupe de Los Angeles martèle un album trop à l'identique au fil de ses compositions. No Matter Where It Ends ressemble à un long titre d'une heure qui a oublié de varier ses passages et de se renouveler au long des 60 minutes. Le début est engageant, mais avec le temps qui s'écoule, l'envie de mettre fin à cette monotonie s'accroit. Même le final, plus expérimental et industriel ne vient pas relever la sensation de manque d'originalité qui conclut l'impression général de ce deuxième album.
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