Chronique

CITY OF SHIPS
Ultraluminal

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Golden Antenna Records

Sorti le 20-03-2015


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Samedi 7 mars 2015

Traçant sa voie dans le sillon ouvert par des HELMET
HELMET


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ou QUICKSAND
QUICKSAND


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, CITY OF SHIPS
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dont Ultraluminal est déjà le troisième album, perpétue la tradition d'un Rock costaud qui n'a pas peur de s'accoquiner avec les mélodies.

La faute revient peut-être à Andrew Schneider si certains passages vocaux (Alarm) rappellent CAVE IN
CAVE IN


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. Ce dernier qui s'est occupé de la production a travaillé par le passé avec ceux-ci mais aussi PELICAN
PELICAN


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et BIG BUSINESS
BIG BUSINESS


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dont on entend aussi le grain vibrant sur l'album.

Carl Saff a quant à lui pris en charge le mastering laissant peu transparaître finalement son travail limpide pour GUIDED BY VOICES
GUIDED BY VOICES


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ou YOUNG WIDOWS
YOUNG WIDOWS


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.

CITY OF SHIPS
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, depuis 2006, a pris l'habitude de construire des ambiances aérées afin de laisser respirer ses fondations solides, puisant toutefois plus dans l'Indie que dans la stratosphère Post-Rock. C'est le chant cassé de Eric Jernigan qui s'offre le rôle le plus important pour arrondir les angles. Les autres musiciens s'attachant eux à marteler les accents Post-Hard-Core de la formation.

Illawarra Escarpment est l'exception qui confirme la règle à ce petit jeu. CITY OF SHIPS
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tisse sur cette composition une ambiance plus mélancolique avec ses différents acteurs. Arrivant au milieu du disque, cette composition offre par la même occasion un peu de souffle à Ultraluminal qui commençait à s'enfermer dans ses idées.

L'album souffre par ailleurs de cette volonté à rester sauvage tout en proposant un versant lyrique. En choisissant une production crue qui fonctionne parfaitement dans ses moments énervés, CITY OF SHIPS
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met en péril le chant mélodique de Eric Jernigan qui donne l'impression de devoir se forcer.

CITY OF SHIPS
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aurait sans doute du prendre encore un peu plus exemple sur ses prédécesseurs HELMET
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et TORCHE
TORCHE


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qui n'ont pas concédé la méticulosité du travail studio afin de prendre le risque de surproduire quelque peu le disque pour un meilleur équilibre.
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