Chronique

EXUVIATED
Last Call to the Void

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Spinal Records

Sorti le 20-11-2015


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Mercredi 25 novembre 2015

Trois ans après leur dernier opus très réussi nommé 'Morpheus Orphan', il était temps que ce cador du death en Belgique sorte de l'ombre. Reclus à Marche-en-Famenne depuis trop longtemps, après une date au prestigieux Wacken Open Air notamment, personne ne se doutait, qu'au détour du rond point de la route du Condroz, un album plutôt varié pour le genre était en gestation.

Varié car il semblerait qu'Exuviated
Exuviated


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aborde, dans 'Last Call to the Void', des contrées moins mélodiques que par le passé. Même si les maîtres du death scandinave restent bien encrés dans leurs influences, Hypocrisy
Hypocrisy


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en tête (cet album a tout de même été masterisé au fameux Fascination Street Studios en Suède par Jens Borgen), on sent que le chant de Jean-Phi est moins timide, tentant parfois même des élancées plus modernes propre au style grind et à son évolution, avec le titre 'Black Empty Faces' et ses incursions de 'pig squeal'.

Le son est, lui aussi, plus massif, pas seulement du à la production soignée et à une section rythmique survitaminée, mais peut-être aussi du à l'arrivée d'une nouvelle recrue, en la personne de Renaut Van Oeyen (ex Virus IV
Virus IV
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), nouveau guitariste qui vient enrichir ce Line-up.

Cette évolution témoigne notamment d'une véritable envie de se professionnaliser, leur présence dans le catalogue de Spinal Records , grand pourvoyeur de dates dans le sud du pays, n'est donc pas un hasard.

Récemment, Exuviated
Exuviated


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c'est produit au côté de Black Bomb A
Black Bomb A


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et sera le groupe 'parrain' du prochain Tremplins Durbuy Rock Festival à L'Atelier Rock de Huy. On espère simplement, que grâce à ce nouvel album, cette denrée rare, car il y a peu de groupes de ce genre en Belgique, réussira à s'exporter en dehors de nos frontières. Seul moyen d'atteindre le salut d'une reconnaissance internationale.
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AUTEUR : Marc
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger ve...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion ...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse c...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté,...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté, pour nos artistes du cru. Après l'obtention de son diplôme en information et de communication, il intègre en 200...

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