Chronique

DESPISED ICON
Beast

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Nuclear Blast

10 titres - 29 min
Sorti le 22-07-2016


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Samedi 10 septembre 2016

Premier album depuis leur séparation en 2010, et il n’y a pas a dire : Despised Icon
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est bien de retour avec cette «bête».
Le chanteur scream Alex Erian n’ayant pas chaumé durant ces années de pause, beaucoup connaissant Obey The Brave
Obey The Brave


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, projet plus metalcore/hardcore mélodique. C’est maintenant avec ses copains de deathcore qu’il reprend du service, ce qui dans les 2 cas/groupes n’est pas dérangeant.

Référence du deathcore dans les années 2000, voilà 7 ans que Despised Icon
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n’avait plus sorti d’album. Surtout que ces 7 dernières années représentent énormément dans les styles metalcore, death,etc. Qu’en est-il donc en 2016??

Et bien cette référence canadienne s’est un peu diversifiée on va dire. Ils avaient contribué à fonder les codes de ce genre, cette fois Despised Icon
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fait plus un rapprochement vers le hardcore et moins le death (metal). Après est-ce que le deathcore doit être plus deathmetal ou hardcore me direz-vous?! Une chose est sûre, ces 6 gars-là tiennent bien la barre et ils méritent de porter le vrai nom de deathcore vu leur mélange savant qu’ils savent opérer.
Pour son retour, le groupe est parvenu à réintégrer les codes et offrir des passages efficaces. Mélange parfait des genres comme sur Bad Vibes ou The Aftermath, voilà une bonne définition.

Je dis ici passage, car arrive ici la chose qui me perturbe beaucoup. En effet, cet album est chaotique dans le bon sens que nous aimons, mais aussi dans un mauvais, un sens plus structurel.
Tant dans l’album que dans pas mal de morceaux, on a l’impression d’avoir une indécision de la part sur groupe sur le bord à tenir : hardcore ou death? Le Juste milieu est parfois difficile à tenir. Cet assemblage hétérogène perturbe un peu face à par exemple Day Of Mourning.

D’un autre côté, il est plaisant d’avoir diversifié ce deathcore, pour avoir évité la monotonie le groupe marque un point déjà. Comme on pouvait s’en douter, les morceaux sont efficaces. Même si je sortirai Drapeau Noir et Beast du lot, l’album n’en reste pas moins d’un niveau globalement bon. Seule question pour moi, le mystère d’une chanson comme Dedicated To Extinction faisant office de bande-son uniquement.

En tout cas, une chose est certaine avec Beast, Despised Icon
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marque clairement son retour. Retour qui va ravir les amateurs du genre, et peut-être ouvrir cette nouvelle masse de public metalcore, vers le deathcore.




Tags : Despised Icon - deathcore - Canada
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AUTEUR : Clément
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extr...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...

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