Chronique

RISE AGAINST
Wolves

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Virgin

11 titres - 40min
Sorti le 09-06-2017


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Lundi 14 août 2017

Plus la peine d’essayer de vous souvenir combien d’albums ils ont à leur actif ou surtout quel est le dernier dont vous vous souvenez. Rise Against
Rise Against


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et leur bon gros punk-rock violent des années 2000 est proche d'être terminé depuis un moment on dirait. Malgré ce fait et qu’ils ne fassent plus de coups de tonnerre, leurs disques ne sont pas devenus mauvais.

Les 4 Américains ne défraient plus la chronique, même si leur succès ne faiblit pas du tout. Certes on cherche à chaque album où se trouve le morceau à succès comme auparavant avec : Prayer For The Refugee, Savior, Make It Stop, etc.

Après son ascension de la décennie précédente, Rise Against
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a stabilisé sa forte fanbase mais commence à stagner dans ses sorties aussi. Après The Black Market qui commençait à sonner dans les mêmes tons, voici Wolves qui s’enfonce encore un peu plus. Certes l’engagement et les textes ne déçoivent pas d’un poil, mais musicalement on arrive doucement au fatidique point mort.

Aucun grand refrain à sing-along, les « woooohhh » de Tim McIllrath sont de plus en plus répétitif, certains petit screams placés avec trop peu de souffle par-ci, par-là. Voilà ce que nous sort donc le groupe 9 ans après l’emblématique Appeal To Reason. Il y a de quoi rester sur sa faim pour ceux qui les suivent depuis une paire d’années.

Il faut rester objectif, Wolves s’écoute tout de même. On peut juste se poser des questions quant à l’effet des titres en live, surtout pour celles et ceux qui ont vu Rise Against
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par le passé et ont vu le groupe évoluer. Car là où, en 2014, The Black Market avait quand même réussi à bien sonner à l’oreiller et s’agripper, Wolves n’y parvient quasi plus.

Hormis quelques singles comme Bullshit, House On Fire, Miracle (qui surprend dans le bon sens), ou Wolves (limite limite), qui sonnent très bien et à mettre d’office dans une setlist de concert, les tonalités restent sensiblement les mêmes. Les riffs et structurent commencent à se répéter/se ressembler dangereusement pour Rise Against
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.

Heureusement textuellement on ne pourra jamais rien reproché à l’engagement et aux thèmes d’actualités traités par le quatuor. Cependant musicalement on peut commencer doucement regretter la période de Revolutions Per Minute, The Sufferer & The Witness, Appeal To Reason, ou même encore Endgame





Tags : Rise Against - USA - Punkrock
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AUTEUR : Clément
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extr...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...
Etudiant en journalisme à l'IHECS. C'est un véritable dévoreur de musiques sous beaucoup de formes, avec une grosse dominante sur les musiques extrêmes et alternatives tout de même malgré un bon éclectisme. Jeune de la génération Y, il laisse avec plaisir les sonorités sorties des méandres de l'internet 2.0 se faire entendre. Mais la vie n'est pas pas que virtuelle et heureusement d'ailleurs, les concerts et festivals restent un plaisir inébranlable d'écouter et partager la musique selon lui. ...

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