Chronique

SHADOCKS
T8

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N4 Records



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Mercredi 29 novembre 2006

Qui ne connait pas au moins de nom les SHADOCKS
SHADOCKS


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? Ce groupe ne brille pas en effet par sa finesse mais plus par son punk primaire mais néanmoins "festif" et pour sa descente de casiers (surtout si c'est de la trappiste).

Infatigables et récidivistes maladifs, les SHADOCKS
SHADOCKS


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ne demandent qu'à monter sur scène. Un peu branleurs sur les bords, leur discographie est par contre un peu moins riche et fournie. Malgré tout, ce n'est pas sans fierté qu'ils nous sortent cet album T8 (je vous laisse le soin de deviner à quoi cela fait allusion) sur le collectif/label N4 records dont ils font partie.

Une fois de plus donc, les SHADOCKS
SHADOCKS


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ont accepté de coucher sur disques leurs titres punk primitifs (Mobilette), bérurier (Bozo) et éthiliques (Tales from the Trappist).

On attend pas trop d'un album des SHADOCKS
SHADOCKS


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, je pense. Par contre, on les attend plus lors d'une prestation live. Car à l'instar des Slugs ou René Binamé
René Binamé


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, c'est sur les planches que le groupe prend toute sa splendeur.

Par conséquent, même si les SHADOCKS
SHADOCKS


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ont du propos à défendre et que la version studio permet de s'y attarder, c'est en concert qu'on appréciera le plus pogoter et les voir.
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