Chronique

CONVERGE
No Heroes

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Epitaph Records



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Mercredi 6 décembre 2006

WAOUW !! Et bien voilà du très bon CONVERGE
CONVERGE


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! Non pas que les précédents albums étaient faibles, mais déjà personnellement je ne les écoute que sporadiquement. Leur qualité est indéniable mais là No Heroes, il s'est franchement usé dans mon lecteur.

No Heroes est encore mieux qu'un condensé des qualités du groupe. Au delà d'une fusion de Jane Doe et de You Fail Me. Plus qu'une réconciliation brutale entre le désespoir et le chaos. Autrement dit, ça fait très mal par où ça passe !

Telle une avalanche (et le mot reste faible) de coups, CONVERGE
CONVERGE


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met KO ! D'emblée, en ouverture, en moins de deux minutes, Heartache a déjà fait comprendre à l'auditeur qu'il ne pourra sortir indemne de cette écoute.

Jusqu'au titre éponyme, No Heroes, CONVERGE
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va marteler avec violence. Nous attirer sans échappatoire possible au plus profond de ses abysses les plus sombres. Une obscurité abyssale qui pointe son nez avec Plagues et qui dévoile sa noirceur insondable et angoissante avec Grim Heart/Black Rose.

Un chant clair (oui-oui) assuré par Jonah Jenkins (Only Living Witness
Only Living Witness
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, Milligram
Milligram
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), le désespoir fascine, le chaos hypnotise. C'est un sentiment de résignation qui envahit alors l'auditeur entrant dans un état cathartique. Une torpeur qui s'effrite peu avant la fin, où la rage au ventre on se refuse à s'avouer vaincu.

C'est à se moment que le quartet de Boston a choisi pour nous renvoyer une bonne fois pour toute dans nos derniers retranchements avec Orphaned, avant de nous laisser souffler quelques courts instants avec Lonewolves, histoire de reprendre un peu de souffle.

En effet survient Trophy Scars qui tiraille le ventre et remonte des entrailles. C'est un mal de bide terrible. On ne peut que hurler " I want to live ... without the guilt we give". On ne peut que supplier "I want to die... without this pain".

C'est à terre, essoufflés et à bout de force que nous finissons mais CONVERGE
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, sans aucune pitié ni retenue, ne peut s'empêcher de terminer le travail. Le monstre énorme montre les dents une dernière fois avant de jeter nos carcasses déjà déchiquetées aux lions.

Attendu au tournant, CONVERGE
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assied une fois de plus sa domination sur le genre. Tout en violence, le groupe terrasse littéralement ses auditeurs et les inquiétudes qu'on pouvait avoir sur le renouvellement du groupe volent en éclats.

Maîtrise totale et complète : Kurt Ballou est cette fois-ci à l'enregistrement. La bande à Jacob Bannon enrichit encore le style du groupe et confirme que CONVERGE
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est LE groupe dévastateur par excellence.
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