Chronique

GREBER
Fright Without

image
Fresh Outbreak Records / 7 Degrees

Sorti le 09-09-2022


image
Mardi 6 septembre 2022

Le monstre bicéphale GREBER
GREBER


Clique pour voir la fiche du groupe
a beau être nourri par deux cerveaux qui ont déjà écumé les scènes dans FUCK THE FACTS
FUCK THE FACTS


Clique pour voir la fiche du groupe
et THE GREAT SABATINI
THE GREAT SABATINI


Clique pour voir la fiche du groupe
, il a malgré tout débuté comme tous les groupes underground. L'un vivant aux USA et l'autres au Canada, l'origine de l'histoire commence par une tournée intensive de deux mois et demi organisée par chacun dans leurs deux pays respectifs.

Quatorze ans plus tard, le duo basse-batterie s'est forgé son propre son. Dans la rugosité, à l'aube de la sortie de son quatrième album, c'est avec un Metal fourre-tout abrasif décliné en dix titres que GREBER
GREBER


Clique pour voir la fiche du groupe
revient.

Et afin d’approfondir ces déclinaisons, Steve Vargas à la batterie et Marc Bourgon à la basse invitent sur album quelques connaissances comme Kevin Keegan de DEAD QUIET
DEAD QUIET


Clique pour voir la fiche du groupe
et BARN BURNER
BARN BURNER


Clique pour voir la fiche du groupe
, Scott Miller de ANTHESIS, Mathieu Vilandre de FUCK THE FACTS
FUCK THE FACTS


Clique pour voir la fiche du groupe
entre autres.

Ces invités ont reçu comme mot d'ordre de jouer fort, d'explorer autant la pesanteur du Sludge que la vélocité du Grind mais d'être toujours dans un ton gratte.



D'autant qu'après, c'est au maître du Metal décapant que les enregistrement sont confiés, Kurt Ballou (CONVERGE
CONVERGE


Clique pour voir la fiche du groupe
).

Pour Fright Without, GREBER
GREBER


Clique pour voir la fiche du groupe
a visiblement cherché à aller à l'essentiel. Le risque avec deux cérébraux de l'underground à la fois par souci de la perfection que pour compenser l'infériorité numérique, c'est de trop se triturer l'esprit et de finir pas se perdre alors que l'exercice a au contraire, besoin de spontanéité.

Et cette spontanéité, on la retrouve tout au long de l'album, même si chaque composition s'offre ses propres escapades (merci les invités). Ce fil conducteur impulsif réside dans cette abrasion, ce côté brut et Noise. Du coup, ce quatrième album sonne aussi très Raw comme disent les anglo-saxons. A son écoute, on se sent quasiment au contact avec les protagonistes, au milieu d'une salle poisseuse tellement le disque rend la dimension Live. Et paradoxalement, la participation d'invités qui ne seront pas présents lors des prestations scéniques, ne décale pas ce sentiment.
TU AS AIME ? PARTAGE !
Google +
Twitter
Facebook
Whatsapp
E-mail
E-mail
Google +
Twitter
Facebook

► COMMENTAIRES

Tu dois être connecté pour pouvoir commenter !

Soit en deux clics via Facebook :

image

Soit via l'inscription classique (mais efficace) :

image

► A VOIR ENSUITE