Interview

'68

Rencontre avec le duo qui tabasse.


Mercredi 27 novembre 2024



Quand nous avons su que ´68 passait en Belgique, nous avons vraiment voulu passer un moment avec ce duo mythique pour mieux comprendre la recette secrète derrière ce mur du son. Accueilli agréablement par les deux comparses, Josh nous partage immédiatement son bonheur d’être à Ypres.

« Il y a 10 ans, j’ai passé quasi une semaine entière ici avant de jouer à l’Ieperfest avec The Chariot. L’ambiance est bonne et les gens sont gentils, ça me fait plaisir d’être de retour »
, Sacré Josh !



‘68
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est arrivé très vite après le split avec The Chariot
The Chariot
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, comment s’est déroulée la transition ?


Josh: Le jour où nous avons décidé d’arrêter ce projet, j’ai passé trois appels. Le dernier était pour Matt Goldman qui est celui qui a produit la discographie de The Chariot
The Chariot
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. Nous avions prévu la tournée d’adieu du groupe et j’ai directement réservé un créneau de studio deux semaines après la fin de la tournée.

Ça c’est rapide !

Josh: (rires) Je suis très bon dans l’impulsivité mais aussi bon pour remonter la pente quand je suis au pied du mur. Une page blanche peut être terrifiante mais j’ai essayé d’y aller naturellement. Je ne voulais pas faire une suite de The Chariot
The Chariot
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mais à côté je ne suis pas un songwriter pop. Je devais donc faire quelque chose...




‘68 à commencé avec [b]Michael Mclellan aux fûts puis maintenant, Nikko Yamada, que s’est-il passé pour que vous reformiez un nouveau duo ? [/b]

Josh: Michael a quitté le projet de la meilleure des façons. Il avait un besoin familial et c’est ce qu’il a fait, c’était le bon choix. Nikko a directement été mon premier choix, je le connais de cercle d’amis mais j’ai surtout produit un groupe auquel il a appartenu, un groupe local.

Quel est le groupe ?

Nikko: Le bande s’appelait Rebuker.

Il n’y a pas vraiment de secret… Ce qui nous fait lever le matin c’est de pouvoir partager cette musique avec des humains.




En tant que duo, le courant doit passer. Est-ce que ça s’est fait dès le début ou y a-t-il eu un temps d’adaptation?

Nikko: Cela a été plutôt simple pour moi. J’ai grandi en écoutant les projets de Josh, donc au final, nous avions déjà une connexion artistique. J’étais familier avec son univers...
Josh : C’est un peu des deux. Le premier show, les premières répétitions, le coup de foudre est passé et cela m’a rassuré sur la suite. Après, comme toute chose, l’investissement, le temps et le travail ont permis de faire fleurir notre collaboration. Avec mes anciens projets, j’étais le chanteur, ici, je suis derrière mes pédales, je chante et je dois me débrouiller, on est presque à l'opposé de la brutalité simple de The Chariot.

Avec ‘68
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vous avez sorti 4 projets, quel estle secret pour continuer à évoluer dans la composition mais aussi dans le son quand on n'est que deux?


Nikko: Déjà les backings tracks… c’est non.(rires)

Josh: Il n’y a pas vraiment de secret… Ce qui nous fait lever le matin, c’est de pouvoir partager cette musique avec des humains. Le voyage est ‘68
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. Nous savons que nous sommes limités sans bassiste, c’est à nous de trouver comment s’en passer. Des nouvelles pédales ? Changer mon jeu? Le fait de se limiter comme cela rend l’aventure d’autant plus excitante. Pas de setlist, des choses cassent parfois ou ne fonctionnent pas bien, c'est le show.

Merci à Josh, Nikko, son équipe ainsi que l'équipe d'Hypnoiz pour leur accueil. Continuez à suivre '68 partout !





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