Interview

RAKLUR

Un chaos maîtrisé qui flirte avec l’extrême et le raffinement


Dimanche 15 décembre 2024

Aujourd’hui, on a rencontré Gauthier et Jordan, respectivement guitariste et batteur de Raklur
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. Raklur
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c’est un quatuor liégeois qui vogue quelque part entre le death metal et le hardcore. C’est aussi des musiciens qui se donnent les moyens, qui ne laissent rien au hasard et qui développent leur patte de manière intelligente avec une volonté de se démarquer.
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est né à Chênée en août 2021. Après un premier concert en 2022, le groupe a dévoilé une première démo « Séquestration » en juin 2022. Le premier EP live « Ça pue mais c'est frais » est arrivé en juillet 2023 et le premier EP studio « Sous vide » est lui sorti il y a un mois.




Que pouvez-vous nous dire sur votre dernier EP ?
On a pris les chansons qui nous semblaient les plus matures. Ces trois chansons ressemblent le plus à Raklur
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. Il y a une thématique récurrente : la pression sous différentes formes, sociale et psychologique, dans la vie de tous les jours. Ça se répercute dans les différentes thématiques des chansons. Ce sont des histories de tous les jours avec un peu des tabous dont on ne parle pas souvent. La pression est le lien entre ces trois chansons. On l’a représenté avec ce mot « Sous vide » et visuellement, on a fait ça avec de la plasticine. Cet espèce de cube d’intestin où on sent que le vide autour opprime vraiment cette plasticine pour former le cube.

Pourquoi chanter en français ?
On a plus facile à faire des textes pour transmettre ce qu’on a dans la tête quand c’est dans la langue maternelle. Chanter en français c’est ou outil créatif supplémentaire pour nous. C’est peu fréquent dans le metal, ça donne une originalité, déjà. Les émotions sont assez crues. Les textures et la rythmique que le français peut amener au metal donnent super bien et nous ressemblent.

Vous avez parlé plusieurs fois de l’associatif et du tissu liégeois. C’est soutenant pour vous ?
Ah oui. On a eu énormément de soutien de la part de la communauté metal liégeoise à nos derniers concerts. C’est une communauté relativement jeune. C’est des jeunes qui sont hyper bienveillants, acceptants, bienvenants, intéressés et qui soutiennent les groupes liégeois. Ils nous portent. Ça nous permet d’avoir un chouette public. Mentalement, ça nous booste à fond et ça nous donne envie de continuer et d’investir le temps qui est parfois éprouvant. Le but étant maintenant de commencer à attester ça en dehors de Liège. On sait qu’on n’aura pas du tout le même type d’accueil et c’est normal, les gens ne nous connaissent pas encore à l’extérieur. On commence à chercher des dates en dehors de Liège.

Vous avez des dates à annoncer ?
Le 4 janvier 2025 au Delta à Namur. Le 18 janvier 2025 à MJ à Chênée. Le 8 février 2025 à Bruxelles. Le 15 février 2025 à la MJ de Sambreville et le 8 mars au centre culturel d’Ans.

Pour écouter l’entièreté de l’interview, c’est ici : https://open.spotify.com/episode/00ZxTsKJMiNLRTZHO99lPt?si=7HNr18sgSlGPaoWGpmz-kg

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AUTEUR : Isabelle
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup...
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière ve...
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière vers un autre secteur et qu’elle est devenue terriblement en manque… d’écriture. A rejoint l’équipe en ju...
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière vers un autre secteur et qu’elle est devenue terriblement en manque… d’écriture. A rejoint l’équipe en juillet 2016....
Ancienne journaliste notamment pour la presse régionale de la province de Luxembourg, elle a couvert, avec son carnet et son appareil photo, beaucoup de concerts et événements culturels et musicaux. Les conditions de travail des journalistes (qui ne sont toujours pas au top, soit dit en passant) ont fait qu’elle a réorienté sa carrière vers un autre secteur et qu’elle est devenue terriblement en manque… d’écriture. A rejoint l’équipe en juillet 2016....

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