Reportage

Madball fait sa Rebellion à la Muziekgieterij

Maastricht (Muziekgieterij), le 09-03-2025

Samedi 15 mars 2025



Les tournées thématiques qui se déroulent annuellement, sont légion ces dernières années. Entre le Faces of Death qui met en avant tout ce qui est Death Technique et Deathcore, l’Impericon Never Say Die Tour et son éventail de formations dans la mouvance « Core » ou encore l’Ultima Ratio Fest qui promeut des artistes allant du Death au Black (voir même Prog cette année), nous ne sommes clairement pas à plaindre. La plupart du temps, ces différentes affiches s’articulent autour d’un ou plusieurs sous-genres bien définis. L’objectif principal étant de promouvoir une scène spécifique en mélangeant aussi bien les grosses pointures du genre que les nouveaux acteurs. Dans le vaste monde des tournées thématiques, il existe aussi celles qui se construisent autour d’un groupe ou d’une figure importante. C’était le cas du Ozzfest avec Ozzy Osbourne
Ozzy Osbourne


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et depuis plusieurs années maintenant du Knotfest avec Slipknot
Slipknot


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(même si ici, on parlerait plus d’un festival que d’une véritable tournée).

Même si tous ces exemples laisseraient penser que cette idée est intrinsèque au Metal, on la retrouve également dans le Hardcore comme le prouve Madball
Madball


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avec son Rebellion Tour ! Organisée depuis 2010, cette tournée a comme particularité, comme vous l’aurez compris, de mettre en avant les New Yorkais, tout en proposant un line up regroupant ce qui se fait de mieux dans les scènes Hardcore américaines et européennes. Au fil du temps, un grand nombre d’artistes ont pu y participer (Terror
Terror


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, Born From Pain
Born From Pain


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, Drain
Drain


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, Sunami
Sunami


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, etc.) et même des formations belges, à l’image de The Setup
The Setup


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en 2010 et 2013 ou de Mindwar
Mindwar


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l’année dernière. Nous voilà dorénavant en 2025 et pour cette onzième édition du Rebellion Tour, nous allons avoir droit, de nouveau, à un panel extrêmement féroce. Ainsi, que ce soient les nouvelles sensations du moment que sont Speed
Speed


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et Guilt Trip
Guilt Trip


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ou les vieilles gardes que sont Death Before Dishonor
Death Before Dishonor


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et Lies!
Lies!


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, tout le monde a de quoi être content.

Bien qu’une date était prévue chez nous à Courtrai deux jours auparavant, je décide de me rendre, en ce dimanche ensoleillé, dans une salle que je découvre pour la toute première fois et qui est nettement plus près de chez moi, la Muziekgieterij de Maastricht. Le complexe est agencé en deux espaces distincts : tout d’abord, d’un premier hall où l’on retrouve un bar à bières spéciales et un stand de nourriture où il est possible de se poser ; ensuite, d’un second espace qui est celui de la salle. Cette dernière est composée, de part et d’autre de ses côtés, du merchandising et de quoi s’abreuver, en plus d’être surmontée d’un balcon. Une disposition très bien pensée et agréable qui me met directement dans de bonnes conditions.



Contrairement aux horaires habituels, l’évènement du jour est labellisé sous le nom de « Sunday Matinee » et pour cause, le premier groupe à monter sur scène est prévu à 15h30 et, de son côté, Madball
Madball


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est censé finir sur les coups de 21h15… Pour une fois que je rentrerai tôt chez moi, je ne vais pas me plaindre.

Bref, pour cette date, l’organisation a eu la bonne idée de programmer une formation locale supplémentaire pour débuter les hostilités. C’est ainsi que les belgo-néerlandais de Out of the Blue
Out of the Blue


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prennent place face à nous, sous une lumière bleue intense. Avec un regard aussi vide que terrifiant, les musiciens sont plus que prêts à nous livrer une bonne dose de violence. Seulement, c’était sans compter sur un petit souci technique qui viendra perturber les premières secondes du set et qui nécessitera l’intervention d’un membre de l’équipe technique. Pas de problème pour le groupe qui profite de ce moment de flottement pour se présenter et nous chauffer à coup de trash talk. Les riffs étant toujours plus forts que les mots, cela se confirme quelques instants plus tard avec les premiers gros breakdowns de la journée qui réveilleront les premiers crowdkilling.

C’est vrai que je ne l’ai pas encore précisé mais Out of the Blue
Out of the Blue


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officie dans le Beatdown Hardcore ultra lourd et méchant, proche de ce que proposent Enemy 906
Enemy 906


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ou encore No Face No Case
No Face No Case


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. En parlant d’eux, je ne sais pas si c’est une coïncidence ou un hommage mais les Tchèques ont justement une chanson nommée « Out of the Blue », comme quoi faut croire que le nom est récurrent dans le genre. Bref, vous vous en doutez plus que certainement mais la musique proposée ne fait pas dans la dentelle et il est ardu de ne pas faire la grimace quand on se mange des breaks pareils. Entre plusieurs morceaux de son premier EP, Pay With Blood, prévu pour le mois prochain, le groupe exécutera une cover de « Death By My Side » de Desolated
Desolated


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qui aura ravi les plus Cro-Magnon d’entre nous. Après 30 bonnes minutes, il est déjà l’heure pour Out of the Blue
Out of the Blue


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de plier bagage et de repartir avec le sentiment du travail accompli. Un chouette concert violent et prometteur qui confirme que le genre se vit pleinement en live.



On poursuit notre soirée (ou plutôt notre fin d’après-midi) avec les autres locaux de l’étape, Lies!
Lies!


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. Originaire de Groningue dans le nord des Pays-Bas, le groupe fait son petit bonhomme de chemin depuis maintenant 15 ans et arpente très souvent le nord de l’Europe à la recherche de fans à annihiler. Longtemps cantonné à une légère renommée régionale, le vent semble avoir tourné en leur faveur depuis leur retour (ils se sont mis en pause pendant plusieurs années) et la sortie, en 2022, de leur EP Rebirth, obtenant ainsi, une certaine reconnaissance dans la scène (du moins, dans nos contrées). Ce récent regain de popularité leur a permis de pouvoir fricoter avec les plus grands de la scène et donc, se retrouver sur cette tournée. En sachant tout cela, vous ne serez pas étonné de savoir que les Néerlandais sont fortement attendus. Pour ouvrir son concert, Lies!
Lies!


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n’y va pas par quatre chemins et assène directement des grosses mandales aux nombreuses personnes dans la fosse.

Avec son Metallic Hardcore rêche et sans fioritures, on croirait revenir quelques temps en arrière avec des compositions mêlant riffs Thrashy et cris rugueux. Si on devait faire une comparaison, les premiers noms qui me viendraient à l’esprit seraient un mélange entre Merauder
Merauder


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, Terror
Terror


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et God’s Hate
God’s Hate


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. Connaissant extrêmement mal leur discographie, je peine à savoir quels morceaux sont joués et ce n’est clairement pas le son, un peu trop fort de la pédale de batterie, qui va m’aider à discerner quoi que ce soit. D’ailleurs, même si les fans semblaient emballés de prime abord, il faut bien reconnaître que la sauce ne prend pas. Et ce n’est pas la venue sur scène de Jak Maden (Guilt Trip
Guilt Trip


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) pour interpréter quelques paroles qui changera la donne. Pourtant, le show est loin d’être mauvais, quelques passages sont même très bien sentis. Malheureusement, il faudra attendre la dernière chanson pour voir le public légèrement se réveiller. Au final, je sors mitigé de ce show qui aura été sympathique mais qui aura clairement manqué d’engouement.



Après un changement de set relativement rapide, on accueille sans plus tarder les Américains de Death Before Dishonor
Death Before Dishonor


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. Ma dernière rencontre avec le groupe remonte à juin dernier, alors pour le compte du Jera on Air, et malheureusement pour lui, il s’était retrouvé au milieu d’une quatrième journée de festival un peu morose. Néanmoins, je me rappelle avoir passé un bon moment et même avoir été surpris par la qualité de la prestation. Je n’en attendais donc pas moins aujourd’hui et je ne vais clairement pas être déçu ! Dès les premières secondes, le chanteur nous invite à participer au maximum et nous garantit que ça va être le feu. Il n’en faudra pas plus pour motiver une grande partie du public qui s’exécute à coup de grandes enjambées d’un côté à l’autre du pit (du side to side quoi). Durant les 30 minutes qui leur sont allouées, les Américains vont promulguer une énergie débordante à travers leur Punk Hardcore furieux et entrainant. Des chansons comme la chantante « Bad Blood » ou la belliqueuse « Never Again » seront accueillies par des circle pit et autres danses Hardcore.

Avec un nouvel album prévu dans exactement deux mois, Death Before Dishonor
Death Before Dishonor


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n’allait certainement pas passer à côté de la promotion d’un nouveau titre. C’est ainsi que nous allons avoir droit à « Overruled » qui, même s’il ne révolutionne pas le genre, a le mérite de montrer que le groupe a encore quelques cartouches dans le chargeur. Contrairement à la formation précédente, le son est nettement meilleur et fort heureusement, il le restera jusqu’à la fin de la soirée. Pour terminer leur set d’une manière festive, les natifs de Boston balanceront leur cover de « England Belongs to Me » de Cock Sparrer
Cock Sparrer


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à la sauce bostonienne (entendez par là, un côté Punk Hardcore plus prononcé) et sous une avalanche de singalong. C’était bien cool et dire que nous ne sommes qu’à la moitié de la soirée !



Si vous lisez nos live reports de manière assidue, vous allez commencer à croire qu’on fait une fixette sur les Anglais de Guilt Trip
Guilt Trip


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. Bien que j’aurais aimé vous dire le contraire, il est vrai que j’ai croisé à de nombreuses reprises leur chemin ces derniers temps. Pour ma défense, faut aussi avouer que le groupe arrive, par je ne sais quel tour de magie, à se trouver une place de choix sur la majorité des affiches alléchantes typées Hardcore. Plus sérieusement, l’explication la plus logique à ce phénomène est que depuis la sortie de leur deuxième album, Severance (2023), il semble que tout le monde soit monté dans le train Guilt Trip
Guilt Trip


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et que personne n’ait prévu d’en descendre. Quand on voit tous les fans qui sont passés par la table de merch, on se rencontre que la hype est très loin de s’essouffler. Vous ne serez donc pas surpris d’apprendre que la salle est bien remplie quand les Anglais arrivent sur scène. Comme à son habitude, le concert s’ouvre par « Fallen at My Feet » et « Surrounded By Pain » et directement, on se mange des patates à grand coup de panic chords et de riffs Crossover.

Le public est déjà en délire et donne de sa personne dans le pit. Si comme moi, vous aviez déjà vu le groupe lors de sa dernière tournée, la setlist a dû vous dire quelque chose car on reste dans la même veine, à la différence qu’avec un temps de jeu réduit, elle se concentre sur les meilleurs titres. Ainsi, que ce soit « Sweet Dreams », « Severance », ou encore « Eye Wide Shut », on a de quoi être aux anges. Sur scène, tout est propre et je n’ai vraiment rien à redire de cette prestation qui va à l’essentiel. Après un petit retour dans le passé avec « Unrelenting Force » et « Guilt Trip », le groupe passe la seconde et décide de nous achever avec la magistrale « Tearing Your Life Away » puis « Thin Ice » que tout le monde reprend en chœur. Enfin et comme c’est devenu la coutume, nous allons avoir droit à une cover du début de « Davidian » de Machine Head
Machine Head


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pour clore le concert. Sans aucun doute la meilleure performance du jour ! Si vous ne les connaissez pas, foncez écouter tout de suite, vous ne serez vraiment pas déçu.



Quand on parle d’ascension fulgurante dans la scène Hardcore ces cinq dernières années, il est difficile de ne pas penser directement à Speed
Speed


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. Ayant vu le jour en 2019 à Sydney en Australie, le quintet a prouvé avec seulement un album et un EP qu’il avait toutes les qualités nécessaires pour devenir l’un des grands de demain. Entre des morceaux fédérateurs et une identité fraternelle forte, les Australiens semblent avoir trouvé la recette magique d’un Hardcore efficace et rafraîchissant. D’ailleurs, contrairement à une flopée de ses confrères, Speed
Speed


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a ce don de dégager une atmosphère positive et bienveillante lors de chacune de ses représentations. Il n’y a qu’à voir le sourire du chanteur durant tout le show pour s’en rendre compte. A peine monté sur scène, le groupe nous souhaite de passer un bon moment et balance dans le plus grand des calmes, « Not That Nice ». Habituellement jouée en fin de set, je vous laisse imaginer la joie du public et le bordel qui s’en est suivi. Avec un nouvel album sorti l’année dernière, la setlist va majoritairement lui tourner autour et ce ne sont pas moins de 9 morceaux qui seront interprétés ! Que ce soit sur « I Mean It », « Only Foes… » ou encore « Kill Cap », les fans répondent parfaitement à l’énergie qui est déployée sur scène.

Comme à son habitude, le frontman fera plusieurs pauses durant le concert pour nous parler de différents sujets qui lui tiennent à cœur comme l’importance de l’unité dans notre société ou du caractère simple mais authentique de la scène Hardcore. Des paroles qui seront, comme vous l’imaginez, chaudement accueillies par l’ensemble de la salle. Pour revenir sur le show, nous allons, bien évidemment, avoir droit à tous les tubes comme « Big Bite », « Don’t Need » ou encore « We See U » qui est toujours hyper attendu. Le fun, étant le maître mot du jour, est omniprésent et va conduire les différents membres à échanger leur poste. C’est ainsi qu’à tour de rôle, le bassiste puis le guitariste viendront prendre le micro et participer à la folie des premiers rangs. Pour terminer en beauté, Speed
Speed


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nous gratifiera de la désormais déjà classique « The First Test » et de sa section finale jouée à la flûte. Un très bon concert qui aura été droit au but et qui conforte l’image ultra positive que je me faisais du groupe.



Après ce qu’on pourrait presque qualifier de mini-festival, il est l’heure d’enfin accueillir les légendes du New-York Hardcore, Madball
Madball


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. Je suppose que je n’ai pas besoin de faire les présentations mais, depuis maintenant plus de 35 ans, les Américains écument les salles du monde entier afin de distiller leur énergie contagieuse. Il est vrai qu’il est possible de les voir traverser l’Europe à plusieurs reprises, chaque année et ce, aussi bien en salle qu’en festival. Pour preuve, si vous les avez ratés lors de cette tournée, vous pourrez les retrouver à l’affiche de l’Antwerp Metal Fest à la fin du mois de mai. Même si Madball
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est un habitué de nos régions, c’est pourtant seulement la seconde fois que j’assiste à l’un de leurs shows. N’étant pas spécialement hyper convaincu par leurs albums studios, je dois bien reconnaître qu’en live, ce n’est pas du tout la même chose. Comme souvent avec les artistes de Hardcore, je trouve qu’on ressent bien plus le caractère hargneux et entrainant des morceaux lorsque ceux-ci nous arrivent littéralement en pleine face. Justement, fort de leurs années d’expérience, les New-Yorkais l’ont bien compris et ouvrent leur concert sous un rythme effréné. Les chansons s’enchaînent sans temps mort et ne laissent aucun répit aux courageux dans le pit.

Freddy Cricien (chant) est une pile sur pattes et n’arrête pas de courir d’un côté à l’autre de la scène, tout en bondissant comme s’il était sur des trampolines. Connaissant extrêmement mal la discographie du groupe, il va m’être difficile de vous parler en détail de la setlist, bien que j’ai reconnu quelques morceaux comme « Born Strong », « Hardcore Lives » ou encore « Rev. Up ». Entre quelques breaks bien placés, Freddy nous annoncera qu’ils viennent de finir l’enregistrement d’un nouvel album prévu pour plus tard dans l’année, le premier depuis 2018 ! Depuis le début, l’intensité est au rendez-vous et même un peu trop car, à un moment donné, un fan se blessera dans la fosse et poussera Madball
Madball


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à s’arrêter quelques secondes afin qu’il soit évacué vers l’infirmerie. Après une bonne heure qui est passée relativement rapidement, le groupe remerciera tout le monde avec « Doc Marten Stomp » comme point final de la soirée. Malgré mon manque de connaissances, j’ai passé un très bon moment, grâce notamment à un public survolté qui n’aura pas arrêté de chanter et mosher dans tous les sens.

C’est donc ici que se termine le long report de ce Rebellion Tour qui aura clairement tenu toutes ses promesses. Tous les groupes auront assuré sur scène et c’est avec plaisir que je retournerais dans cette très belle salle qu’est la Muziekgieterij. On se revoit prochainement dans le pit !

Remerciements à la Muziekgieterij pour l’invitation.
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AUTEUR : Maxime
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant of...
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leur...
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leurs formes....
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leurs formes....
Après avoir fait son stage de musicologie au sein du webzine, Maxime, fervent lecteur de chroniques, décide de prolonger l'aventure en rejoignant officiellement l'équipe en tant que rédacteur. Fan de breakdown et de pit bien énervé, il aura grand plaisir à te faire découvrir les scènes Metalcore et Deathcore (et bien plus) sous toutes leurs formes....

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