Reportage

Esben and The Witch ensorcelle la Rotonde

Bruxelles (Botanique), le 15-02-2013

Dimanche 17 février 2013

Dans la foulée de la sortie de "Wash The Sins Not Only The Face", leur tout nouvel album sorti fraîchement sur Matador, l'occasion était bonne, ce vendredi soir, de découvrir, dans la salle de la Rotonde au Bota, le jeune et talentueux trio originaire de Brighton, Esben and The Witch
Esben and The Witch


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. Bruxelles est la quatrième étape d'une tournée Européenne pour la présentation d'un album dont on dit le plus grand bien, digne successeur du très réussi, Violet Cries.





En première partie, un autre groupe anglais répondant au nom de Thought Forms
Thought Forms


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était présent pour ouvrir le bal. Ce trio offre à une audience au départ parsemée et un peu endormie, un beau panel de rock alternative, rappelant à la fois Sonic Youth
Sonic Youth


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et My Bloody Valentine
My Bloody Valentine


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Dommage que par moment quelques petits soucis techniques sont venus perturber un set tout à fait correct donnant envie d'aller voir un peu plus loin. Notamment, pourquoi pas, jeter une oreille sur leur nouvel album album "Ghost Mountain" sorti sur Invada Records .





Après l'entracte, la Rontonde est quasi pleine. La fosse est bien remplie et le public s'assoit sagement comme des écoliers en attendant l'arrivée de la belle petite Rachel Davies (guitare/Chant/Basse) et de ses deux acolytes Daniel Copeman (synthé/batterie) et Thomas Fisher (guitare).





Le set s'amorce avec deux nouveaux morceaux entrecoupés par le tube de l'album précédant "Marching Song". La salle commence à se réveiller tandis que Rachel Davies se chauffe la voix.
Clairement, le public va en avoir pour son argent, le chant est fidèle aux enregistrements qui dévoilent un talent dans la lignée de Sharon Van Etten ou de Zola Jesus
Zola Jesus


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Des morceaux tels que "When that Head Splits" ou "Deathwaltz" sont là pour le confirmer. Esben and The Witch
Esben and The Witch


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offre une musique aux accents new wave et gothic, rehaussés par des sonorités électroniques donnant à l'ensemble un côté glaçant et mélancolique.





Le public est maintenant totalement conquis et concentré sur le chant hypnotique, quasi à cappella, du morceau tire larmes "The Fall Of Glorieta Mountain", tout bonnement magnifique.
Après un petit break vient le rappel et le dernier morceau du nouvel album "Smashed To Pieces In The Still Of The Night", qui vient clôturer magnifiquement un concert totalement ensorcellant. Est-on déjà en présence d'une des meilleures sorties de 2013 ?

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AUTEUR : Marc
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger ve...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion ...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse c...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté,...
Marc est un mélomane qui depuis l’achat de sa première cassette de Metallica (le maxi de Wherever I May Roam) n’a jamais cessé de se diriger vers le rayon Hard Rock de chez Caroline Music. Pendant son adolescence, la lecture de magazines tels que R.A.G.E ou Popular1, sans oublier l'écoute de Rock à Gogo, a fortement agrandi sa passion pour la culture et la musique alternative. Les découvertes de Channel Zero et de DV8 furent une autre grosse claque dans son apprentissage et le début d’un intérêt, d’une certaine fierté, pour nos artistes du cru. Après l'obtention de son diplôme en information et de communication, il intègre en 200...

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